SURF : impact des activités évènementielles et de la SURFréquentation sur les espaces verts et de nature

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Porteur
Plante & Cité
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Partenaires
Communes et EPCI (service espaces verts et service culture), gestionnaires de domaines privés touristiques, LPO...
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Financeurs
En construction
[ Projet en cours ] [ 2025 - 2027 ]
- Correspondant(s) Plante & Cité :
- Sandrine LARRAMENDY
- objectifs :
> Mesurer ces impacts sur les diverses composantes énoncées.
> Proposer et expérimenter des outils de limitation : période de repos, jauges maximales, emprises de circulation…- résumé :
Certains parcs, jardins, places végétalisées, promenades sont des espaces publics sollicités pour être le lieu de manifestations avec du public parfois nombreux. Ces manifestations peuvent être culturelles, festives, sportives…
Exemples : les festivals en extérieurs (concerts au Parc Floral, à Carhaix, festival de la bande dessinée à Angoulême…), théâtre et art vivant (Avignon, Aurillac), les fêtes foraines (Saint-Vaast-La-Hougue, Angers, Nantes…), les cirques, les activités sportives (courses à pied, VTT, escalade…),les feux d’artifice…
En dehors ddes activités évènementaielles ponctuelles, les espaces verts et de nature peuvent aussi souffrir d'une surfréquentation à certaines périodes de l'année, notamment en période estivale.
Toutes ces activités ont des impacts, plus ou moins visibles.
Aperçu des impacts : altération des revêtements de sols, des surfaces enherbées, dommages sur les arbres (tronc, houppier et racines), sur les massifs fleuris et arbustifs, pollutions ponctuelles, production et gestion de déchets (plastiques, alimentaires, déjections animales et humaines…), coûts de gestion pour les remises en état, perturbations de la faune (dérangement des espèces diurnes et nocturnes mais aussi attraction d’espèces non désirées comme les rats, les corneilles, les ragondins, les goélands), pollution sonore, perturbation de la tranquillité et du bien-être des usagers, conséquences sur les choix et ambitions de projet (renoncement, inertie)…
Ces multiples impacts questionnent la pérennité du patrimoine végétal et de biodiversité des espaces verts et de nature et la ou les limites que l’on se fixe (en surface, en fréquentation, période d’occupation, saisonnalité…).
Livrables :
› Synthèse des retours d’expérience des cas pratiques.
› Pistes d’action.
› Docuthèque et exemples inspirants sur le portail Nature en ville.Domaines d’application potentiels :
› Programmation d’évènements culturels.
› Relation inter-services Nature – Culture.
› Négociations, argumentaires.
[ 2025 - 2027 ]
Plan d'actions
Phase 1 (6 mois) : Expression des difficultés et leur analyse
› Recherche bibliographique.
› Enquête pour repérer les situations les plus critiques et recueillir les difficultés ressenties.
› Analyse des réponses.
Phase 2 (1,5 an) : Mise en œuvre des cas pratiques et valorisation des résultats
› Sélection des cas d’études à investiguer avec des volontaires : un site / un évènement + binôme gestionnaire espace vert / responsable programmation culturelle.
› Mesures des impacts de l’activité évènementielle.
› Proposition et expérimentation de dispositifs de limitation.
› Compilation des résultats et des enseignements.
activité humaine - espace public - installations évènementielles - parc - pollution - pollution lumineuse - pollution sonore - surfréquentation